News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

Le 28 juin s’est tenu dans la salle du stade de Bouchamps-lès-Craon une réunion bilan de régulation des corvidés sur le secteur de Craon. En décembre 2022, une dynamique collective avait été insufflée par la FDSEA

Ce lundi 15 juillet avait lieu une rencontre de travail entre la Communauté de communes des Coëvrons, la FDSEA 53 et les JA 53 dans le cadre de la préparation du nouveau PLUi du territoire

Mercredi 10 juillet, en présence de plusieurs responsables et représentants syndicaux de la FDSEA 53 et des JA 53, la préfète de la Mayenne, Marie-Aimée Gaspari, a visité l’exploitation d’Etienne Dalibard, éleveur porcin à Montjean

Pas de surprise pour le second tour des législatives en Mayenne : les trois sortants sont réélus, haut la main. Malgré la qualification de trois représentants du Rassemblement national pour le second tour des élections

Le 19 septembre 2023, la Maladie Hémorragique Epizootique ou MHE, était détectée pour la première fois en France. Le ministère de l’Agriculture avait confirmé la détection de 3 cas de la maladie dans les Pyrénées-Atlantiques

La collecte mondiale reste orientée à la baisse en avril 2024 (-0,7% par rapport à avril 2023), et ce malgré le léger redressement des livraisons dans l’UE (+0,6% /avril 2023), et la confirmation du rebond

Les comptes nationaux de l’agriculture pour l’année 2023 sont parus ce jour. Le résultat brut de la branche agricole se dégrade fortement (-10,5%), après l’embellie passagère de l’année 2022 (+14,9%). Les principales causes sont les

Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire renouvelle sa campagne de prévention pour protéger le territoire de la peste porcine africaine La France est actuellement indemne de peste porcine africaine (PPA). Pour préserver

Après avoir organisé des formations de piégeurs agréés ces dernières années, la FDSEA53 vous propose de bénéficier de son nouvel achat groupé de cages à corvidés. Descriptif du produit : – cage 2 prises, avec compartiment d’appelant

Sur le département, la méthode pour réguler collectivement les corneilles noires et les corbeaux freux est désormais bien rôdée. Une première salve de réunions tenues en novembre dernier, puis en février, ont permis de mobiliser

Sangliers : « on veut juste que la chasse soit faite ! »

Pas de répit dans les parcelles : les sangliers, toujours bien présents, détruisent les cultures. C’est le constat fait dans bon nombre de secteurs en Mayenne, comme à Chemazé au Gaec Buchot.

Alertée par les deux agriculteurs, la FDSEA organisait sur place, mercredi, une conférence de presse pour alerter sur l’importante croissance de la population de sangliers en Mayenne. « Jusqu’en 2019, on en chassait environ 2 500 par an. L’an dernier, on est passé à 4 000 », indique Claude Charon, référent chasse pour la FDSEA. 

« Les hivers doux favorisent l’augmentation du nombre de sangliers. Les laies, qui faisaient une portée par an avec six marcassins, sont désormais à trois portées tous les deux ans et avec huit marcassins », explique-t-il. Claude Charon met aussi en cause le nourrissage des sangliers dans les forêts privées. 

« Normalement, on fait de l’agrainage, mais avec pas plus de 50 kg pour 100 ha par semaine. Une règle que certains dépassent largement… » Tout cela favorise la croissance de la population de sangliers.

« Ce qui n’est pas sans poser des problèmes de société comme les accidents de la route ou encore leur présence dans certaines villes. » Pour le représentant syndical, la solution est d’appliquer au plus vite l’accord national signé en février dernier, accord toujours pas applicable en Mayenne. « Sur les 14 mesures de cet accord, nous avons un peu de divergences avec la Fédération des chasseurs de la Mayenne, mais nos relations sont bonnes. » Autrement dit, il n’y a aucune raison pour que l’accord ne soit pas signé. Au vu de la demande des agriculteurs sur le terrain, il y a urgence : des dégâts ont aussi été signalés dans le Nord-Est du département à Boulay-les-Ifs, par exemple, ou bien dans le Sud-Est à Saint-Denis-d’Anjou. Pour rappel, 80 hectares étaient déclarés en dégâts des cultures par les sangliers en 2019. Depuis, la surface a quasiment doublé.