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A l’occasion de leur conférence de presse de rentrée, Jeunes Agriculteurs et FNSEA ont rappelé l’urgence d’agir pour l’agriculture. Pour certaines filières, la conjoncture de ces derniers mois n’a fait qu’aggraver la situation. Face au

Cette année est marquée par l’apparition ou la résurgence de maladies dans le domaine animal. Emergence de la maladie hémorragique épizootique (MHE), Résurgence de la FCO 8, réapparition de plusieurs virus d’influenza aviaire sont autant

Le ministère de l’Économie a précisé par communiqué le 27 août les modalités du dégrèvement de la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB), l’une des mesures de soutien annoncées le 12 août dans

Un foyer d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) a été confirmé le 20 août, dans un élevage du Morbihan (commune de Camoël). Il s’agit du deuxième foyer pour la saison 2024/25, après celui détecté en Ille-et-Vilaine

Le ministre de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire annonce ce 20 août 2024 l’engagement de l’Etat dans la campagne vaccinale 2024/2025 des canards contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP). Considérant l’urgence à agir, Etat

Suite à la détection de deux foyers dans des communes belges limitrophes avec la France fin juillet 2024, une zone régulée a été mise en place à compter du vendredi 2 août. Cette zone évolue

Le président de la FNSEA a signifié par courrier, vendredi dernier, au ministre de l’Agriculture les demandes urgentes de la FNSEA pour répondre aux situations difficiles de nombreuses exploitations à la suite d’une moisson catastrophique. Pour

Un foyer d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) a été détecté en Ille-et-Vilaine, le 12 août. Il s’agit du premier foyer en élevage confirmé en France depuis l’épizootie de l’hiver dernier. Des zones réglementées ont été

Mercredi 31 juillet, d’importants orages se sont abattus en Mayenne. Ils ont causé des dégâts sur les cultures de maïs dans certaines communes du département, notamment dans les cantons de Chailland et Mayenne. Après un

Face à l’arrivée de la FCO-3, la FNSEA et ses associations spécialisées, FNB, FNPL, FNO, FNEC ; Jeunes Agriculteurs, Chambres d’Agriculture France, La Coopération Agricole, rappellent les demandes prioritaires afin de soutenir l’élevage et ses éleveurs pour qu’ils continuent

Rapport de l’OFPM : La FNSEA et Jeunes Agriculteurs appellent les pouvoirs publics à s’engager en faveur d’une nouvelle répartition de la valeur.

Le rapport 2024 de l’Observatoire de la Formation des Prix et des Marges (OFPM), publié le 19 juillet dernier, met en lumière des défis persistants pour les agriculteurs, notamment en termes de répartition de la valeur.

La grande distribution continue à capter une part essentielle des dépenses alimentaires : pour chaque 100 € dépensés en alimentation par les ménages français, les agriculteurs ne reçoivent que 6,4 €, contre 15,5 € pour la distribution. Le rapport met en évidence qu’en 2023, on constate un net effet de rattrapage pour de nombreux produits suivis par l’OFPM. La hausse des prix au détail s’accélère encore avec une nouvelle hausse de 10,9%, qui s’explique cette fois d’abord par la progression des marges brutes en aval. En somme, les produits ont coûté plus cher en rayons parce que les distributeurs ont reconstitué leurs marges.

Le gonflement des marges de l’aval pose la question de la juste répartition de la valeur au sein de la chaîne alimentaire. Cela ne doit se faire, ni au détriment des producteurs et des productrices, ni au détriment des consommateurs et consommatrices.

Fort de ces constats, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs (JA) insistent sur la nécessité de renforcer les lois EGAlim pour garantir la réelle construction des prix en marche avant. Aussi, des ajustements sont nécessaires :

  • Les prix d’achat auprès des producteurs doivent être basés sur des indicateurs de coûts de production interprofessionnels. Leur poids doit être prépondérant dans la formation des prix.
  • Les négociations en amont doivent se conclure avant l’envoi des conditions générales de vente pour assurer une transparence totale dans les relations commerciales et protéger la matière première agricole.

Mettre en place ces mesures et éviter de prendre exemple sur des modèles inefficaces, sont indispensables pour tendre vers une répartition équitable de la valeur, du producteur au distributeur.