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Agricultrices, agriculteurs votre avis nous intéresse ! Les organisations professionnelles agricoles de la Mayenne ont souhaité mettre en place ce questionnaire pour mesurer votre perception, en tant qu’agriculteur, de la conjoncture économique et sociale. La répétition dans

Décembre dernier, la FDSEA et Polleniz avaient déjà tenu 3 réunions d’informations à destination des agriculteurs, des piégeurs et autres bénévoles investis dans la régulation des espèces nuisibles et susceptibles d’occasionner des dégâts. Sur les

La proposition de Loi « Contraintes » a été examinée hier au Sénat, en séance plénière, avec Madame la Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire et déjà nos politiques font marche arrière !

France En cumul sur 11 mois, la collecte française a progressé de +1,2% /2023. Elle reste néanmoins en retrait de -1,7% /2022. D’après les enquêtes hebdomadaires de FranceAgriMer, le décrochage de la collecte hebdomadaire observé depuis fin novembre s’est

Suite aux annonces du gouvernement sur la mise en place d’un fonds d’urgence de 75M€ pour les élevages touchés par la FCO, FranceAgriMer ouvre le 30 janvier 2025 à 14h le téléservice pour la demande d’indemnisations pour

Le projet de loi d’orientation agricole, demande de longue date de la profession agricole, a été réécrit en commission des Affaires économiques du Sénat autour de propositions moins favorables à l’installation et à la transmission.

A l’issue d’une année de mobilisations au cours desquelles les agriculteurs ont largement fait part de leur exaspération face à un empilement de normes, Jeunes Agriculteurs et la FNSEA saluent l’ouverture du débat, en séance

En complément des questionnaires agricoles, des permanences agricoles sont organisées pour échanger en direct avec le bureau d’études Cittanova qui accompagne Laval agglomération dans l’élaboration du plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) et du schéma de

Les réunions hivernales de la FDSEA sont arrivées à leur terme mercredi. Au pas de course durant ces trois dernières semaines, les responsables du syndicat ont ainsi pris la température et les avis de près

Alors que les intentions de la Commission européenne pour ouvrir toujours plus largement le marché européen à des produits alimentaires ne respectant aucune des conditions imposées en Europe continue, la mobilisation agricole se poursuit également

Les renégociations commerciales anticipées ne doivent pas compromettre le revenu des éleveurs de chèvres 

Lors de la Commission Mixte Paritaire concernant le projet de loi portant sur les mesures d’urgence pour lutter contre l’inflation, députés et sénateurs ont confirmé la volonté d’anticiper les négociations commerciales entre transformateurs et distributeurs dans l’objectif de faire baisser certains prix de vente au consommateur. Si l’on peut comprendre l’enjeu pour le gouvernement de disposer du cadre législatif pour redonner du pouvoir d’achats aux français, le discours porté sur la baisse des prix n’est pas en phase avec la réalité dans les élevages caprins. 

 Le gouvernement met en avant, pour justifier une baisse des coûts de production, or ces baisses, les éleveurs sont loin de les constater sur leurs exploitations ! 

L’Ipampa Lait de Chèvre ne fait que se stabiliser (-0,2% entre le T2 et le T3 de 2023), après une hausse continue et record depuis 2 ans, mais reste encore supérieur de 13% par rapport au 3ème trimestre de 2022 ! 

Les charges non indicées dans l’Ipampa Lait de chèvre, quant à elles, ont augmenté fortement, comme les travaux réalisés par des tiers, les fermages, le coût de la main d’oeuvre salariée de l’exploitation, et autres charges. Ces charges pèsent pour plus du quart dans le coût de production du lait de chèvre. Dans ces conditions, une hausse du prix du lait de chèvre serait nécessaire pour que les éleveurs de chèvres puissent maintenir le niveau de vie de leurs familles qui font face à l’inflation comme tout le monde. 

Notre objectif est de garantir aux éleveurs que les renégociations à venir n’impacteront pas le prix du lait : la loi Egalim2 assure la prise en compte de la MPA (matière première agricole) dans les conditions générales de vente du transformateur. Nous attendons des transformateurs et distributeurs qu’il en soit réellement ainsi et que les éleveurs ne se retrouvent pas comme variable d’ajustement des renégociations commerciales.