Le 15 novembre dernier, les Etats membres devaient se prononcer sur cette prolongation. Comme d’habitude sur ce dossier, aucune majorité qualifiée (soit 55 % des pays de l’Union européenne représentant 65 % de la population) ne s’étant dégagée, il appartenait à la Commission de se prononcer. C’est ce qu’elle a fait. Mais au-delà du 15 décembre 2023, la question du renouvellement de l’approbation reste posé. L’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) doit se prononcer sur la toxicité du produit d’ici juillet 2023. C’est au vu de ses conclusions que le renouvellement de l’autorisation sera ou pas accordé l’an prochain.