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Après plus de deux ans de travaux et un parcours parsemé d’embuches, la loi d’orientation pour la souveraineté alimentaire et le renouvellement des générations en agriculture est enfin votée ! Ce texte, qui doit encore

FDSEA53 et JA53 sont vent debout face au projet d’arrêté visant à réformer le classement des cours d’eau. Exemple à Laubrières avec un fossé de 350 m de long séparant deux exploitations, qui pourrait ainsi

Suite à la confirmation d’un loup repéré dans le Nord-Ouest de la Mayenne, une cellule de veille « loup » (à laquelle a notamment participé la FDSEA) a été mise en place vendredi dernier dans le département afin d’anticiper

Depuis le 3 février dernier et ce jusqu’au 25 février, un projet de nouvel arrêté préfectoral relatif à l’interdiction de l’application de produits phytopharmaceutiques à proximité des milieux aquatiques, est en consultation publique. Il fait

C’est avec plus d’un mois de retard que le service d’aide aux trésoreries PRETEA a fini par ouvrir sur le site FranceAgriMer. Prévu pour répondre à des difficultés conjoncturelles faisant suite à la multiplication des

La FDSEA de la Mayenne propose une nouvelle formation destinée aux agricultrices et agriculteurs confrontés à des changements dans leur exploitation. Que ce soit l’arrivée d’un premier salarié, d’un nouvel associé, un départ en retraite,

Grâce à la confiance que les agriculteurs mayennais nous ont une nouvelle fois accordée, notre liste FDSEA-JA « Agir, Entreprendre et Réussir ! » a remporté les élections à la Chambre d’agriculture de la Mayenne. Cette victoire est

Jeunes Agriculteurs et la FNSEA remportent plus de 80% des Chambres d’agriculture départementales. Ce résultat reflète le sérieux et la détermination avec lesquels nous avons géré les Chambres d’agriculture depuis six ans et mené la

Ce lundi, la préfecture de la Mayenne a mis en consultation un projet d’arrêté préfectoral visant à interdire l’application de produits phytopharmaceutiques à proximité des milieux aquatiques, comme le prévoit la loi. Ce texte pourrait

Agricultrices, agriculteurs votre avis nous intéresse ! Les organisations professionnelles agricoles de la Mayenne ont souhaité mettre en place ce questionnaire pour mesurer votre perception, en tant qu’agriculteur, de la conjoncture économique et sociale. La répétition dans

Démarches bas carbone proposées par les laiteries : la FNPL prône la prudence et la vigilance avant de signer tout engagement

Plusieurs transformateurs proposent actuellement aux producteurs de lait de s’engager dans des démarches « bas carbone ».

Les éleveurs laitiers peuvent en effet contribuer à lutter contre le réchauffement climatique en stockant du carbone, dans les prairies ou dans les haies par exemple et en faisant évoluer certaines pratiques. En contrepartie, la laiterie propose des primes, principalement sur objectifs.

La FNPL tient à alerter les producteurs de lait des limites de ces démarches, qui n’offrent pas toujours toutes les garanties d’un partenariat gagnant pour l’éleveur. Si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’animateur de votre FDSEA ou de votre organisation de producteurs.

Ces démarches « bas carbone » imposent en effet parfois des conditions d’accès non justifiées (interdiction de vente de crédits carbone par exemple), anéantissant la promesse de rémunération supplémentaire au producteur.

Par ailleurs, la FNPL incite à la plus grande méfiance lorsque les termes des propositions contractuelles ne sont pas clairs. L’éleveur ne connait pas exactement ce à quoi il s’engage et le bénéfice qu’il va en tirer, alors, il vaut mieux s’abstenir de tout engagement. En effet, les barèmes proposés ne sont pas toujours explicites ou bien sont très difficilement atteignables et les niveaux de primes particulièrement modestes, avec des coûts engendrés par le programme, réduisant à néant tout intérêt.

De ce fait, la FNPL appelle à la plus grande vigilance avant tout engagement des producteurs. Il convient que les termes de l’engagement soient très clairs et sans ambiguïté, conduisant à une parfaite compréhension du producteur des bénéfices qu’il pourra obtenir du programme. Pour l’éleveur, l’intérêt financier doit être réel et basé sur des barèmes réalistes, sans conditions imposées en plus. Enfin, la FNPL incite les éleveurs à ne pas systématiquement transmettre l’intégralité de leurs données, dont la valeur est réelle et recherchée par les entreprises dans le cadre de leur comptabilité carbone.

En outre, la FNPL tient à rappeler qu’elle a proposé au sein de l’interprofession un projet de charte pour valoriser et encadrer les leviers de transition environnementale activés dans la filière laitière. Ce projet apparaît bien mieux adapté aux engagements de France Terre de Lait en la matière que les différentes initiatives qui se succèdent sans garantir les mêmes valeurs aux producteurs.