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Tenues d’abord à Mayenne la semaine dernière, puis à Saint-Samson mercredi, les trois réunions organisées par la FDSEA et Polleniz sifflent le top départ de la cinquième campagne d’opérations collectives de régulation des corneilles noires

Le jeudi 12 décembre, la section porcine s’est réunie à Méral pour discuter de la conjoncture avec Arnaud Clouet le secrétaire général de la Fédération Nationale Porcine (FNP) et Eric Thébault le directeur de la FNP.

Mardi 17 décembre 2024 à partir de 16h30, la Commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale auditionnera LACTALIS (représenté par la voix de son DG France) dans le cadre des annonces de septembre dernier (baisse

JA et FNSEA obtiennent le maintien du tarif réduit de la TICPE sur le GNR à 3,86 €/hl au 1er janvier 2025 malgré l’absence du vote de la loi de finances pour 2025 ! Cette reconduction

Alors que les actions agricoles envers la Grande Distribution vont bon train en Mayenne, pour dénoncer notamment le manque de transparence de l’affichage de certains produits alimentaires et/ou l’absence d’approvisionnement français, nos deux syndicats mènent

En bloquant la publication des indices d’évolution des charges agricoles, la FNIL a renié unengagement pris à l’unanimité en juin dernier. Ce revirement aux motifs douteux est inacceptable pour la FNPL, qui a pris la

JA et la FNSEA appuyés par le COPA et le CEJA militent de longue date pour une hausse conséquente du plafond des aides de minimis en agriculture. Nous saluons la décision de la Commission européenne de ce jour qui

Suite à la situation sanitaire que nous connaissons aujourd’hui, la FNPL a préparé un rapide questionnaire à destination des éleveurs laitiers afin de connaître les besoins en termes de vaccination (à la fois FCO et

Nous avons le plaisir de lancer une nouvelle offre exclusive pour les exploitants agricoles du réseau FNSEA, financée à 100% grâce aux Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) ! Cette campagne, après le succès des opérations sur

Ce jeudi 5 décembre, Mme Perrot, vice-présidente de la Ligue contre le cancer du comité de la Mayenne, est venue pour la restitution du chèque suite à la vente de bottines roses. Cet événement a

Agriculture biologique : la FNSEA et JA demandent une vision stratégique pour accompagner les agriculteurs et freiner la vague de déconversions ! 

L’annonce du report de la date de clôture des dépôts de dossiers, au 3 mai 2024, pour l’aide bio est un premier pas appréciable pour une majorité d’agriculteurs. Ce décalage était nécessaire dans un contexte de surcharge de travail rendant difficile la tenue des délais par les comptables. Cependant, pour les exploitations agricoles dont les dossiers demandent une comptabilité prévisionnelle, la FNSEA et JA continuent d’appeler à la mise en place d’une date spécifique de dépôt des dossiers. Malgré une enveloppe portée à 90 millions d’euros lors du Salon International de l’Agriculture, l’aide reste insuffisante pour permettre d’envisager une sortie de crise durable. 

 Si nos deux syndicats saluent l’augmentation de l’aide d’urgence et l’élargissement des critères d’éligibilité, ils continuent de déplorer l’insuffisance de l’enveloppe pour répondre à l’ensemble des demandes. Non seulement le montant dédié à l’aide spécifique aurait dû être d’une autre ampleur, mais surtout être accompagné de mesures structurelles, permettant de répondre à l’ensemble des besoins exprimés par les agriculteurs bio. En l’état, l’enveloppe ne sera pas capable de freiner la vague de déconversions : un budget de 150 M€ et une meilleure prise en compte du revenu tels que demandés par la FNSEA et JA auraient eu un effet significatif sur le maintien des agriculteurs en bio. 

Pour créer les conditions d’une sortie de crise et relancer l’agriculture biologique durablement, la FNSEA et JA souhaitent que l’accès aux aides à la conversion pour l’agriculture biologique soit conditionné à une contractualisation portant à la fois sur le volume, le prix et la durée ou à une étude de marché en vente directe. Cela permettra un rééquilibrage entre l’offre et la demande et ainsi redonner de la valeur aux produits AB. Le respect des lois EGAlim, notamment dans la restauration collective avec un taux minimum d’approvisionnement de 20 % de produits issus de l’agriculture biologique, et une communication continue à destination des consommateurs doivent également être des priorités pour soutenir davantage les exploitations engagées dans cette voie. 

Enfin, les agriculteurs font part de nombreux retards de paiements de leurs aides bio et MAEC qui fragilisent encore plus la situation. Il est indispensable que l’Etat mette tout en oeuvre pour un versement rapide de ces aides.