News
HORAIRES

ACTUELLEMENT FERMÉ / CONTACTEZ- NOUS DU LUNDI AU VENDREDI DE 8H30 À 17H AU 02 43 67 37 96

C’est en effet un appel à la vigilance que la FDSEA, JA, la FDCuma et les EDT de la Mayenne souhaitent adresser aux usagers de la route, tout comme il est adressé aussi auprès des

Mardi 24 septembre, c’est « sous bonne garde » que les responsables agricoles ont échangé avec les gendarmes à Laval. Au menu : vols, intrusions, sécurité routière et encadrement des manifestations. Les malheureux accidents de la route

Face à la profonde crise que traverse le monde agricole, Jeunes Agriculteurs et la FNSEA appellent le Gouvernement Barnier à faire de l’agriculture une priorité pour apaiser la colère et l’incompréhension grandissantes des agriculteurs, déçus

Si vous relevez des collèges  suivants,  Des listes électorales provisoires seront établies avant le 1er octobre 2024 et transmises aux maires et à la Chambre d’Agriculture. Dès réception des listes, le maire les fait immédiatement afficher

Après un conseil fédéral commun tenu le 12 septembre au CNOSF (Comité national olympique et sportif français) à Paris, réunissant près de 400 responsables syndicaux de métropole et outre-mer, le Space fut une nouvelle occasion

La Commission européenne vient d’autoriser chaque Etat membre à verser des avances sur les aides PAC plus élevées que le minimum règlementaire. Les agriculteurs pourront recevoir, dès le 16 octobre, 70% de leurs aides directes

Le 1er semestre 2024  marque un tournant, avec un prix de revient qui voit, pour la première fois depuis sa publication, poindre une stabilisation, même s’il reste à un niveau élevé. Du côté des signaux

Le 26 juillet dernier, FDSEA, JA, Chambre d’agriculture, Fédération des chasseurs, Polleniz, AMR et AMF de la Mayenne (associations des maires) ont acté devant la DDT de la Mayenne l’intérêt de questionner la population mayennaise

Une nouvelle session de formations des piégeurs agréés est organisée les 28 et 29 novembre prochains. Inscrivez-vous vite et obtenez, à vie, votre permis pour agir efficacement sur les espèces susceptibles d’occasionner des dégâts et

Plusieurs transformateurs proposent actuellement aux producteurs de lait de s’engager dans des démarches « bas carbone ». Les éleveurs laitiers peuvent en effet contribuer à lutter contre le réchauffement climatique en stockant du carbone, dans

Démarches bas carbone proposées par les laiteries : la FNPL prône la prudence et la vigilance avant de signer tout engagement

Plusieurs transformateurs proposent actuellement aux producteurs de lait de s’engager dans des démarches « bas carbone ».

Les éleveurs laitiers peuvent en effet contribuer à lutter contre le réchauffement climatique en stockant du carbone, dans les prairies ou dans les haies par exemple et en faisant évoluer certaines pratiques. En contrepartie, la laiterie propose des primes, principalement sur objectifs.

La FNPL tient à alerter les producteurs de lait des limites de ces démarches, qui n’offrent pas toujours toutes les garanties d’un partenariat gagnant pour l’éleveur. Si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’animateur de votre FDSEA ou de votre organisation de producteurs.

Ces démarches « bas carbone » imposent en effet parfois des conditions d’accès non justifiées (interdiction de vente de crédits carbone par exemple), anéantissant la promesse de rémunération supplémentaire au producteur.

Par ailleurs, la FNPL incite à la plus grande méfiance lorsque les termes des propositions contractuelles ne sont pas clairs. L’éleveur ne connait pas exactement ce à quoi il s’engage et le bénéfice qu’il va en tirer, alors, il vaut mieux s’abstenir de tout engagement. En effet, les barèmes proposés ne sont pas toujours explicites ou bien sont très difficilement atteignables et les niveaux de primes particulièrement modestes, avec des coûts engendrés par le programme, réduisant à néant tout intérêt.

De ce fait, la FNPL appelle à la plus grande vigilance avant tout engagement des producteurs. Il convient que les termes de l’engagement soient très clairs et sans ambiguïté, conduisant à une parfaite compréhension du producteur des bénéfices qu’il pourra obtenir du programme. Pour l’éleveur, l’intérêt financier doit être réel et basé sur des barèmes réalistes, sans conditions imposées en plus. Enfin, la FNPL incite les éleveurs à ne pas systématiquement transmettre l’intégralité de leurs données, dont la valeur est réelle et recherchée par les entreprises dans le cadre de leur comptabilité carbone.

En outre, la FNPL tient à rappeler qu’elle a proposé au sein de l’interprofession un projet de charte pour valoriser et encadrer les leviers de transition environnementale activés dans la filière laitière. Ce projet apparaît bien mieux adapté aux engagements de France Terre de Lait en la matière que les différentes initiatives qui se succèdent sans garantir les mêmes valeurs aux producteurs.