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Ce lundi 15 juillet avait lieu une rencontre de travail entre la Communauté de communes des Coëvrons, la FDSEA 53 et les JA 53 dans le cadre de la préparation du nouveau PLUi du territoire

Mercredi 10 juillet, en présence de plusieurs responsables et représentants syndicaux de la FDSEA 53 et des JA 53, la préfète de la Mayenne, Marie-Aimée Gaspari, a visité l’exploitation d’Etienne Dalibard, éleveur porcin à Montjean

Pas de surprise pour le second tour des législatives en Mayenne : les trois sortants sont réélus, haut la main. Malgré la qualification de trois représentants du Rassemblement national pour le second tour des élections

Le 19 septembre 2023, la Maladie Hémorragique Epizootique ou MHE, était détectée pour la première fois en France. Le ministère de l’Agriculture avait confirmé la détection de 3 cas de la maladie dans les Pyrénées-Atlantiques

La collecte mondiale reste orientée à la baisse en avril 2024 (-0,7% par rapport à avril 2023), et ce malgré le léger redressement des livraisons dans l’UE (+0,6% /avril 2023), et la confirmation du rebond

Les comptes nationaux de l’agriculture pour l’année 2023 sont parus ce jour. Le résultat brut de la branche agricole se dégrade fortement (-10,5%), après l’embellie passagère de l’année 2022 (+14,9%). Les principales causes sont les

Le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire renouvelle sa campagne de prévention pour protéger le territoire de la peste porcine africaine La France est actuellement indemne de peste porcine africaine (PPA). Pour préserver

Après avoir organisé des formations de piégeurs agréés ces dernières années, la FDSEA53 vous propose de bénéficier de son nouvel achat groupé de cages à corvidés. Descriptif du produit : – cage 2 prises, avec compartiment d’appelant

Sur le département, la méthode pour réguler collectivement les corneilles noires et les corbeaux freux est désormais bien rôdée. Une première salve de réunions tenues en novembre dernier, puis en février, ont permis de mobiliser

Lors de l’événement Agri en ville qui s’est tenu le 21 juin dernier à l’occasion de la fête de la musique au square de Boston dans le centre-ville de Laval, les produits locaux ont été

Intrusions dans les élevages de l’Ouest : les protagonistes également condamnés au civil

Le 28 janvier 2022, comparaissaient au tribunal du Mans (72) neuf activistes animalistes pour des faits d’intrusions, vols d’animaux, dégradations, menaces et insultes, perpétrés entre 2020 et 2021. Les méfaits avaient été recensés dans plusieurs exploitations d’élevage du Grand Ouest, de l’Eure au Finistère en passant par les Pays-de-la-Loire.

En Mayenne, la Chambre d’agriculture ainsi que la FDSEA53 avaient également été prises pour cibles de tags par une partie des prévenus. Le 31 mars 2022, le tribunal rendait son délibéré condamnant les six femmes et trois hommes à des peines de prison avec sursis allant de 4 à 10 mois pour certains, des heures de travaux d’intérêt général et des sanctions financières pour d’autres. Après la phase pénale, le 26 mars 2024 s’est enfin tenu le second acte de la procédure intentée par les parties civiles. L’audience civile, qui visait à juger des dommages et intérêts dus à la trentaine de victimes, avait déjà été reportée 3 fois. En verdict final, le Tribunal a estimé la quasi-totalité des constitutions civiles comme recevables. Puis, selon les différentes affaires, a condamné les prévenus à payer respectivement des amendes allant de 1 000 à 3 000 euros pour préjudices moraux causés, de 3 000 à 4 000 euros pour préjudices matériels, et de 500 à 1 000 euros au titre de l’article 475.1 (frais d’avocats). En outre, l’un des totems de la procédure des éleveurs et de leurs défenseurs a été depuis le début du procès la restitution d’agneaux volés chez l’un d’entre eux. Le Tribunal a acté la restitution d’un agneau – vraisemblablement le seul encore en vie… -, devenu aujourd’hui brebis, avec une pénalité de 150 euros par jour de retard de restitution. Un appel concernant cette décision a été formulé… Bien qu’elles réclamaient par la voix de leurs avocats des dommages-intérêts beaucoup plus lourds, pour les parties civiles cette ultime décision du Tribunal vient solder positivement près de 3 années de procédure juridique. Une conclusion inédite pour un procès inédit qui, selon elles, vient donner raison aux éleveurs victimes de ces intrusions d’avoir fait le choix de la défense en justice. En gageant qu’à l’avenir, leur démarche fasse jurisprudence si nouveau procès de cette nature il devait encore avoir lieu en France.